Fiche technique :
Titre : Seuls dans la ville entre 9h et 10h30
Auteur : Yves Grevet
Éditeur : Syros
Nombre de pages : 224
Prix : 14,90 €
À partir de : 11 ans
Pour en savoir plus : Fiche du livre sur le site éditeur
Résumé :
Tout commence par une expérience littéraire proposée par un professeur de français à sa classe : Postez-vous seul(e) à un endroit du centre-ville entre 9h et 10h30 et écrivez ce que vous voyez ou ce que cela vous inspire. La forme est libre : description, fiction, poésie... Or, ce matin du 18 mars, maître Marideau, le notaire de la ville, est assassiné et son corps retrouvé à l'arrière d'une Mercedes bleue, sur l'île aux Chiens. Alors que l'enquête de la police piétine, Erwan décide de récupérer les copies de ses camarades afin de traquer le moindre indice susceptible de conduire au coupable...
L'avis de Math :
L'avis d'Agathe :
Voilà un roman intéressant, façon policier, mais avec ce côté malin au niveau de l'enquête de donner des éléments très différents au lecteur pour qu'il tente de découvrir la vérité avant les héros (ce qui est parfois frustrant, dans les polars, c'est quand, à la fin, on découvre qu'on ne pouvait pas trouver tout seuls).
Moi aussi, je me suis souvent référé à la carte du début (très bonne idée ! Et super d'illustrer avec des portraits de lycéens pour donner plus de réalité aux personnages).
On jubile de voir des détails devant lesquels les héros passent à côté !
J'ai aussi beaucoup aimé la petite romance, légère mais très bien menée, qui apporte un côté touchant à l'histoire.
J'ai passé un excellent moment, lu d'une traite, et ça confirme que je suis totalement fan d'Yves Grevet ! (depuis Méto, dont il faut qu'on fasse une chronique bientôt... quand Math l'aura lu !)
Ça m'a vachement plu tout ces témoignages et articles de journaux. Je retournais toujours au début pour voir la carte ! Et il y a eu beaucoup de moments où j'ai cru que les héros n'arriveraient pas à élucider le crime.
Ce que j'ai beaucoup aimé, aussi, c'est quand je trouvais des indices avant Erwan et Cassandre. C'était très alambiqué : déguisements, enlèvement, trajet, objets, meurtre...
Il y a une intrigue qui plane jusqu'au bout et qui fait durer un méchant suspens. Vraiment, pour une fois, j'ai cru que j'étais tombée sur une histoire qui se finissait mal jusqu'à la dernière seconde...
L'avis d'Agathe :
Voilà un roman intéressant, façon policier, mais avec ce côté malin au niveau de l'enquête de donner des éléments très différents au lecteur pour qu'il tente de découvrir la vérité avant les héros (ce qui est parfois frustrant, dans les polars, c'est quand, à la fin, on découvre qu'on ne pouvait pas trouver tout seuls).
Moi aussi, je me suis souvent référé à la carte du début (très bonne idée ! Et super d'illustrer avec des portraits de lycéens pour donner plus de réalité aux personnages).
On jubile de voir des détails devant lesquels les héros passent à côté !
J'ai aussi beaucoup aimé la petite romance, légère mais très bien menée, qui apporte un côté touchant à l'histoire.
J'ai passé un excellent moment, lu d'une traite, et ça confirme que je suis totalement fan d'Yves Grevet ! (depuis Méto, dont il faut qu'on fasse une chronique bientôt... quand Math l'aura lu !)
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